Assez logiquement, lors de la destruction de la partie sud du bidonville (voir ici, ici, ici et là) et de l’expulsion de ces presque 3500 habitant-e-s, aucune solution n’a été prévue pour les mineur-e-s. La seule possibilité qui leur a été laissée est d’aller vers les moyens d’hébergement proposés aux adultes, camp de containers du bidonville de Calais (voir ici et là) ou « centres de répit » un peu partout en France (voir ici, ici, ici ou là), structures qui ne sont ni habilitées ni préparées à accueillir des mineur-e-s isolé-e-s.
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