"Qu'elle
soit géopolitique, économique ou culturelle, la frontière traverse
toute la société contemporaine."
L'exposition
"L’Asymétrie des cartes" se déploie sur deux lieux : au
LIFE et au Grand Café, centre d’art contemporain du 22
janvier au 10 avril 2016
Au
Grand Café, les œuvres présentées cristallisent les dynamiques
souterraines et invisibles des territoires : économiques,
politiques, culturelles ou technologiques. Ce sont les frontières
invisibles. Les artistes présentés démontrent que les rapports de
force politiques et économiques mondiaux dématérialisent la
frontière.
A
l'étage, deux projections vidéos de Mark Boulos se font face. L'une
montre des pêcheurs nigériens dans leur lutte armées contre les
sociétés de forage pétrolier. Ces forages ont entraîné une vaste
pollution du Delta, la ruine de l'industrie de la pêche, une très
grande pauvreté. Lui faisant face, l'autre vidéo se déroule au
Marché d'échange de Chicago, l'une des plus grandes bourses de
commerce du pétrole du monde.
Au
LIFE, les œuvres vidéographiques présentées s’attachent à dire
la frontière et l’exil sous l’angle de l’intime et du
quotidien. Les artistes font le récit des bouleversements que la
frontière engendre : déracinement, territoires de l’attente, vie
en transit. Les territoires de l'attente qu'ils mettent en exergue
engagent une réflexion sur les politiques migratoires qui installent
les populations dans l'errance. les artistes dessinent de nouveaux
territoires, ceux des individus nomades, poussés à l'exil.
Une
exposition à voir jusqu'au 10 avril 2016.
Ouvert
du mardi au dimanche de 14h à 19h et les mercredis de 11h à 19h
"Qu'elle
soit géopolitique, économique ou culturelle, la frontière traverse
toute la société contemporaine."
L'exposition
"L’Asymétrie des cartes" se déploie sur deux lieux : au
LIFE et au Grand Café, centre d’art contemporain du 22
janvier au 10 avril 2016
Au
Grand Café, les œuvres présentées cristallisent les dynamiques
souterraines et invisibles des territoires : économiques,
politiques, culturelles ou technologiques. Ce sont les frontières
invisibles. Les artistes présentés démontrent que les rapports de
force politiques et économiques mondiaux dématérialisent la
frontière.
A
l'étage, deux projections vidéos de Mark Boulos se font face. L'une
montre des pêcheurs nigériens dans leur lutte armées contre les
sociétés de forage pétrolier. Ces forages ont entraîné une vaste
pollution du Delta, la ruine de l'industrie de la pêche, une très
grande pauvreté. Lui faisant face, l'autre vidéo se déroule au
Marché d'échange de Chicago, l'une des plus grandes bourses de
commerce du pétrole du monde.
Au
LIFE, les œuvres vidéographiques présentées s’attachent à dire
la frontière et l’exil sous l’angle de l’intime et du
quotidien. Les artistes font le récit des bouleversements que la
frontière engendre : déracinement, territoires de l’attente, vie
en transit. Les territoires de l'attente qu'ils mettent en exergue
engagent une réflexion sur les politiques migratoires qui installent
les populations dans l'errance. les artistes dessinent de nouveaux
territoires, ceux des individus nomades, poussés à l'exil.
Une
exposition à voir jusqu'au 10 avril 2016.
Ouvert
du mardi au dimanche de 14h à 19h et les mercredis de 11h à 19h